ðº°˜¨ Isabella Swan ¨˜°ºð [ Serdaigle ]

Prénom Isabella. Dans l’année 60, c’était un nom très prisé. Toutefois, ce n’est pour autant qu’elle l’apprécie, surtout lorsqu’on sait que ce prénom à déjà existé, bien des générations avant elle, dans la lignée des Odiele. Elle aurait aimé quelque chose de nouveau et qui sorte de l’ordinaire.
Nom Odiele.
Surnom Bella. D’ailleurs, elle préfère qu’on l’appelle ainsi, Isabella étant le nom de son arrière grand-mère. Il n’y a que son père qui l’appelle Isabella, pour les autres, proches ou pas, c’est tout simplement Bella.
Âge 17 ans. Elle née par un magnifique solstice d’été en 1960. Sa date d’anniversaire étant le 27 Juin. Le jour où elle perdit sa mère. Aussi ne préfère-t-elle pas qu’on le lui souhaite. De toute façon, très peu de personnes connaissent la date de son anniversaire.
Année 6ème années.
Statut du Sang Sang-mêlé. De part son père. Malgré son simple statut de ‘Guérisseur’ – autrement dit, véto – il se maria avec une femme de la noblesse sorcière, elle étant de sang pur – Ces dernières émirent quelques réticences lorsqu’ils rencontrèrent l’élu de leur seule et unique fille –

Caractère Bella se caractérise par ses manières distinguées, par sa grande franchise et par sa nature pacifique, spontanée et ambitieuse. Doté d'une vitalité débordante et d'un incomparable sens de l'humour, lorsqu’elle le veut, elle séduit facilement son entourage par son entrain et sa bonne humeur. Aventureuse et exploratrice, attirée par les pays inexplorés, elle ne tolère guère de se voir limité dans un cadre de vie trop restreint.
Se passionnant pour l'exploration de choses nouvelles susceptibles d'agrandir le cercle de ses connaissances. Ou bien, elle se complaît à étaler ses nombreux talents et aptitudes pour prendre soin des animaux comme éleveur ou dresseur – ça, c’est à cause de son père et des animaux qu’il ramenait constamment chez eux – Lorsqu'elle ne peut déployer son dynamisme ou utiliser ses intérêts envers la faune, elle se livre entièrement à des activités intellectuelles, à la recherche d'un idéal. Ouverte à toutes les questions religieuses ou spirituelles, Isabella se lance à fond dans des études philosophiques et les questions morales et sociologiques.
Doté d'une intelligence supérieure, Bella s'avère ouvert aux conceptions nouvelles et aux sujets inédits pouvant ajouter une source d'information à ses multiples connaissances. Avec une apparente contradictoire, elle affiche des appétits matérialistes qui parfois l'entraînent à risquer des sommes d'argent colossales – heureusement que papa est là ! – Galvanisant tout sur son passage, la jeune fille se transforme en une aventurière financière qui poursuit audacieusement son itinéraire jusqu'au summum, atteignant alors – et parfois – le siège royal d'un magnat de ses études. Astucieuse et rusée, disposant de mille et une fantaisies pour faire fructifier sa petite fortune, elle se révèle être une ingénieuse capitaliste.
En amour, Bella se trouve être quelqu’un de très fleure bleue. De par sa nature romanesque, amoureuse et sentimentale, elle apparaît toutefois comme une brillante séductrice et une incomparable amoureuse. Délicate, raffinée et tendre, elle entoure son partenaire de mille et une petites attentions qui colorent de gaieté les aspects incertains de la vie quotidienne. Possédant de grandes ressources pour plaire et attirer l'élu de son cœur, Bella exprime ses sentiments par de douces paroles et des compliments courtois. Si parfois, elle fait souvent l'erreur de se laisser séduire ou entraîner dans une aventure passagère…

Physique Depuis toute petite, Bella est restée une enfant relativement petite. Maintenant, à 17 ans, elle atteint péniblement les 1m65 et quelques petites brouettes, ce qui fait que sa taille est un sujet très tabou ! Toutefois, malgré le faite que sa taille reste chétif et corresponde plus à une enfant de 15 ans, sa silhouette est élancée et sa taille fine lui donne des allures bien moins enfantine. Ses membres effilés allongent harmonieusement son corps, lui donnant de longues jambes fuselées.
Quant à ses formes… elle à l’impression de ne pas en avoir. Sujet de discorde avec sa demi-sœur qui aimait bien la taquiner dessus. Bella est restée plate. Sa petite poitrine met de loin son port en valeur et généralement, elle cache cette dernière derrière des échappes ou bien d’autres trucs à fanfreluches. Sur se point là, elle envie sa demi sœur, aux formes si généreuses et pulpeuses. Elle se fait plus l’impression d’être un vilain petit canard lorsqu’elle se tient à coté d’elle, la dépassant de quelques centimètres, le regard fière tandis que le sien se fait rêveur et constement dans les nuages.
De son père, Bella ne possède que son regard, ce qui la déçoit quelque peu, car lorsque son paternel pose son regard sur elle, celui-ci s’emplit de tristesse. Lorsqu’on y regarde sans vraiment y faire attention, on a l’impression que les Odiele ont les yeux marron pour le moins très clairs. Toutefois, lorsqu’on s’y approche, leur regard est fait de plusieurs teintes, des nuances de marrons, de verts et de jaunes. Ayant la capacité de changer de couleur, son regard suit ses humeurs, pouvant se faire aussi clair que l’émeraude pour devenir à d’autre moment aussi sombre que l’ébène. Héritage des Odiele, Bella en et très fière. Ombragé alors par de longs cils, elle souligne la profondeur de son regard par un discret maquillage qui délimite son œil, s’étendant légèrement contre sa tempe donnant une forme allongée à son regard.
Pour ce qui est du reste de son visage, tout vient de sa mère. La forme de son visage anguleux ainsi que ses pommettes hautes viennent de sa mère, ainsi que sa pâleur, pas tout à fait normal à son goût. Sa peau diaphane laisse voir ses veines bleutés le long de ses bras ou encore de ses mains alors que la moindre fatigue sa part se remarquera immédiatement à cause des cernes. Sa bouche est quant à elle un brin pulpeuse couvert d’un tendre rose légèrement carminée qui s’étire souvent en de tendres sourires pour former enfin de compte des moues coquines.
Portant les cheveux mi-longs, ils frisent et bouclent facilement, formant un casque blond sur sa tête, ce qui l’oblige à souvent se les lisser. Tirant, s’acharnant dessus durant une bonne demi-heure, une fois lisse et dépourvut de toute bouclettes, ils atteignant peiniblement sa pointure, masquant encore la petitesse de ses seins. Malgré cette crinière difficilement domptable couleur blond comme les blés, Bella les attache souvent, lui donnant un air de folle qui vient tout juste de sortir de son lit !
Sinon, coté vêtement, Bella s’en sort pas trop mal. Au départ, elle avait laissé habiller son père comme il le voulait. A dix ans, elle portait encore des socquette vernis, des petites jupes plissés rouge coquelicot, le buste vêtu d’une chemise blanche à manches longues tandis qu’une légère et petite cravate, tout aussi rouge que sa robe, finissait de l’étrangle, les cheveux sauvagement tiré en arrière en une longue natte – celle-ci, bien évidemment, attaché par un petit nœud rouge – Pour ne pas vexer son père, Bella ne s’était jamais rebellé, jusqu’à son 13ème anniversaire où elle dut mettre les points sur les i avec son paternel. De mauvaise grâce, celui-ci avait accepté avant de s’étouffé en voyant sa toute nouvelle garde robe.
Bella aimait s’habiller de façon coquette tout en restant discrète, n’aimant pas beaucoup se faire remarquer. Toutefois, ses habits sortes toujours de l’ordinaire et elle aime les vêtements aux couleurs pâles et sombres. N’aimant pas les bijoux, elle n’en porte pas, sauf les boucles d’oreilles que sa mère avait portées lors de son mariage. Des tout petits diamants en forme d’étoile…

Famille Au départ, il y avait Isabella Quielte, première du nom. Vélane, les hommes se retournaient souvent afin de mieux voir cette femme à la beauté froide. Même si elle pouvait avoir tout les hommes qu’elle désirait, cette femme de sang pur s’éprit d’un homme, d’un moldue. Il était policier, Chef policier et se nommait Jacob Odiele. Puis de leur union naquit un fils, Charlie Odiele qui à son tour se maria avec une femme de la haute société, Alice Von Derman. Ils eurent une fille qu’Alice ne put jamais tenir, morte en couche. Son père la nomma Isabella, en souvenir à sa mère, morte trois ans plutôt d’un étrange mal qui avait infecté son flux magique. Charlie l’éleva avec l’aide de son père qui maintenant atteint les 72 ans. Puis, 9 ans plus tard, Katie vint compléter la famille quelque peu désunit des Odiele, avec sa fille, Lucie à la beauté sauvage dont certains secrets échappaient à Bella.

Deux Maisons Souhaitées Et bien, en faisant ma fiche, j’y ai longuement réfléchis et je ne vois pas Bella aller à Serpentard et je trouvai que le meilleur choix pour elle était Serdaigle ou bien Gryffondor ? Après tout, ce n’est pas une 7 ème année lol. Enfin, comme vous voulez !!!

Avatar Jessica Stam.

Histoire
12 Juin 1969
Agé alors de 9 ans, Bella passait le plus clair de son temps à traîner dans l’immense corps de ferme du meilleur ami de son père, Billy. Habitant l’un à côté de l’autre, les deux hommes, veufs tout les deux, s’étaient vite rapprochés. Ayant eut un fils, répondant au nom de Emmett, il avait 1 an de moins qu’Isabella. Sa peau basanée, ses cheveux de jais s’accordaient parfaitement bien avec son regard d’ébène faisant rappeler à ceux qui le voyait, ses origines indiennes.
Son père vivait autrefois à Forks, dans une réserve avant de prendre la décision, à la mort de sa femme, de quitter l’Amérique afin de venir s’installer ici dans un immense ferme. Au départ, Charlie, le père de Bella, s’était montré très réservé avec cet homme à la peau si mate et il lui fallut bien 2 mois avant qu’il ne daigne lui adresser la parole. Après quelques banalités échangées sur le temps qu’il faisait et le crachin habituel qui tombait sur la ville, Charlie eut un large sourire et l’invita à venir boire un verre à la maison. Ce fut à partir de ce moment là que Charlie éprouva le besoin de se lier d’amitié avec quelqu’un, la solitude lui pesant trop. Bella en fut ravi, car son ami devint meilleur ami. Toutefois, même si son père recommençait à prendre goût à la vie, sa vie sentimentale resta longtemps à plat. A part son travail et le bonheur de sa fille, peut de chose l’intéressait. Mais avec le temps, Charlie reprit tout doucement goût à la vie et reprenais un certain plaisir à faire des rencontres.
Après la mort de sa femme, Charlie dut s’occuper seul de sa fille, un nouveau né qui réclamait beaucoup d’intention. La mort brutale d’Alice le marqua et il s’enferma sur lui-même, refusant de faire une quelconque rencontre, préférant vivre seul avec sa fille. Mais avec le temps, il réapprit peu à peu à vivre normalement et à rencontrer du monde et des femmes aussi. Ce fut à ce moment là qu’il rencontra une femme en particulier ; Katie. Il s’agissait d’une magnifique femme, à la beauté farouche qui impressionna Bella, peut habituée à voir une femme prendre la main de son père ou encore l’embrasser.
Ne comprenant pas vraiment ce qu’impliquait la venue de cette femme chez elle, elle l’ignora, préférant garder le souvenir de sa mère – qu’elle n’avait vue que sur de vieilles photos, qui s’animaient sans cesse, lui arrachant un tendre sourire – auprès de son père. Fantôme qui la rassurait et qui berçait ses songes le soir venu. Mais le changement de sa petite vie changea lors du déménagement. Katie dut trouver la vie agréable auprès de son père, car celle-ci avait décidé de venir y vivre. Mais le plus bouleversant fut l’aménagement de sa chambre. On avait repoussé son bureau sous la fenêtre pour y installer un 2ème lit. Se demandant si Katie allait venir dormir avec elle dans sa chambre d’enfant aux murs pastels, elle y trouva une jeune fille, d’à peu prêt son âge, assise sur se dernier.
Il fallut du temps à Charlie afin d’expliquer ce qui se passait, essayant de rassurer sa fille qui ne comprenait pas comment une autre femme, que sa mère, puisse venir dormir dans le même lit que son père. Même si celle-ci était morte, il lui était impensable de savoir son père avec une autre qu’elle. Tout opposait Alice, sa mère et Katie, sa belle-mère. Alice était blonde, ses yeux prussien, en forme d’amande ombragés par de lourd cils tandis que Katie, elle, était d’un tendre blond vénitien. Son regard de jade l’éblouissait tant il pouvait se faire tendre ou bien dur. C’était si choquant pour Bella, qu’elle se referma sur elle-même, refusant de parler à Katie ou bien à sa fille, Lucie.
A partir de se moment, ses journées étaient entièrement consacré à Emmett qui, lui, était très intrigué par la nouvelle sœur de son amie. Toujours fourrée chez lui, Bella parcourait les champs de Carlisle avec lui, se baignait, insouciante de la froideur de l’eau de la mer pour sauter en haut d’une immense colline. C’était une année d’insouciance que son père laissa faire, ne souhaitant pas brusquer sa vie par cette toute nouvelle vie. Billy comprenait parfaitement que la situation délicate puisse blesser la jeune fille. La voir continuellement fourré chez lui, ne le gêna guère. C’est ainsi que Bella encaissa la vie de cette nouvelle femme qui venait de débarquer dans sa vie bien tranquille, avec sa fille, un peu froide et distante avec elle. Toutefois, pour ça, Bella ne pouvait ne s’en prendre qu’à elle-même, refusant catégoriquement d’adresser la parole à sa demi-sœur.

27 Septembre 1971
Deux ans que Bella cohabitait avec Katie et Lucie – celle-ci ayant quittée la maison à la réception de sa lettre d’amission a Poudlard – Bella se souviendrait pendant de longues années, la tête qu’elle avait fait lorsqu’on lui avait expliqué ce qu’était cette école. Celle-ci en voulut beaucoup à la jeune Odiele d’avoir put lui cacher l’existence d’une quelconque école de magie. Car Bella en connaissait l’existence, sa grand-mère, sa mère étant toute deux de puissante sorcière. Elle avait d’ailleurs hérité de la baguette magique de sa grand-mère pour ces 10 ans, jalousement gardée et protégée sous son matelas. Leurs relations n’avaient alors rien de bien méchant mais la jeune fille s’enfermait le plus souvent dans un profond mutisme. Elle partageait peut de chose avec elles, leurs en voulant d’avoir ainsi chamboulé leur petite vie bien tranquille, même si elle savait, au fond d’elle mêmes, qu’elles n’y étaient pour rien, mais elle n’arrivait tout simplement pas à les accepter. Le plus souvent, elle s’enfermait dans sa chambre, lorsque Lucie n’y était pas, sinon, elle s’enfuyait dans le salon, le nez plongé dans un bouquin ou bien elle allait rejoindre son meilleur ami, Jacob. Toutefois, cet été de ses 11 ans, elle fit une étrange rencontre.
Il s’agissait d’un jeune homme qui vivait dans un magnifique manoir, reculé de la civilisation, dans la forêt de Carlisle. Elle le rencontra lors d’une sortie en ville avec son père… sa belle-mère et sa demi-sœur. Les ayant délaissés préférant se balader bien devant eux, seule. Au départ, ce n’était qu’une simple petite sortie, afin de faire quelques courses et flânant dans les rues de la petite ville, le percuta de plein fouet. Chancelante, ce dernier la retenu par le bras, évitant qu’elle ne se casse la figure. Ses doigts glacés, entourant ferment son bras, il la maintient en un équilibre précaire avant de la remettre sur pied. Son regard d’ébène la fixait attention puis il relâcha comme s’il venait te toucher un tison ardent pour disparaître aussi vite qu’il était apparut. A partir de ce moment là, Bella ne pensa plus qu’à lui… à ce jeune homme mystérieux au regard pénétrant. Ce n’est que 3 semaines plus tard, à la fin des vacances scolaire qu’elle le revit, au abord de la forêt.
D’abord, l’approche fut froide et peut courtoise pour devenir plus douce avec le temps. Il se prénommait Edward. Edward Deven. C’était un garçon un peu sauvage mais tendre avec ses amis. Emmett émit quelques réticences à voir venir un nouveau dans sa petite bande – composé seulement de lui et de Bella – Les journées passaient avec une vitesse affolante pour la jeune fille qui voyait venir le jour où, elle aussi, devrait partir pour rejoindre Poudlard. Cette séparation avec ses amis la déchirait et contre toute attente elle leur avoua ou elle ce qu’elle se rendait. Si Jacob la prit pour une folle, Edward eut un mystérieux sourire avant de lui promettre que lui et Emmett l’attendrait pour les vacances de noël.

30 Juillet 1976
16 ans, l’âge ingrat et un affreux bouton lui barrait le front, juste au dessous de son sourcil gauche. Bella avait bien tout tenté pour le caché mais il devenait de plus en plus rouge. Gémissant de désespoir face à une telle horreur, qui défigurait partiellement le front, elle le ‘masquant’ avec un pansement rose à pois blanc. Ses débuts de vacances s’annonçaient mal, tandis que Lucie cognait contre la porte de la salle de bain, lui priant, ‘gentiment’ de quitter l’endroit. Bella ouvra d’un brusque mouvement la porte de la salle de bain et lui lança un regard polaire. Leur relation s’était considérablement détériorée et la jeune fille lança un regard sceptique à la nouvelle garde de robe de Lucie. C’était… étrange. Elle ne portait plus que vêtements amples et ses sauts d’humeurs commençaient à lui taper sur le système.
Lui laissant la place, sans lui adresser la moindre parole, elle s’engouffra dans sa chambre et attrapa ses affaires avant de balancer son sac en travers de son épaule pour quitter précipitamment la maison. Edward l’attendait dans sa magnifique Chevrolet argenté, son éternel sourire accroché aux lèvres. Lui rendant son sourire, elle grimpa sur le siège passager et soupira d’aise. Lui rendant son sourire, elle boucla sa ceinture et se laissa conduire au pique nique avait prévu le jeune homme. Ils étaient devenus plus proche avec le temps, mais étrangement Edward avait quelque peu…changé. Son regard si sombre avait prit une couleur topaze tandis que de profonde cernes marquait son visage. Quant à son corps, il était aussi dur et froid tel un lourd rocher, impossible de bouger tandis que son corps marmoréen l’hypnotisait, tel un papillon attiré par la lumière.
En faite, l’été dernier, Edward fut mordu par un vampire, transformant sa vie à tout jamais. Sa soif de sang se manifestait souvent et l’odeur du sang de Bella l’attirait inexorablement mais il se devait de se nourrir régulièrement d’animaux présent dans la réserve. Malgré ça, il restait très courtois et attentionné avec la jeune fille. Leur complicité s’était vite muée à une attirance mutuelle. Mais cela ne devait pas durer. Aujourd’hui était le dernier jour qu’ils voyaient, Edward devant quitter Carlisle, attirant trop l’intention du Minister de la Magie. Cette journée là avait été parfaite et Bella était loin de l’oublier. Elle avait été la seule à manger mais Edward la dévorait des yeux. A ce moment là, le cœur en émoi, Bella embrassa son premier amour, d’un chaste baiser mais terriblement tendre.
Ce fut la dernière fois qu’elle le vit et son premier amour l’abandonna à Carlisle après une ultime étreinte. Pour elle, il était impossible de retrouver pareil amour et elle ne comprenait pas comment sa sœur faisait pour collectionner les conquêtes – quoique, en ce moment, Lucie ne sortait avec personne – Affreusement affecter par le départ d’Edward, elle se montra par la suite un peu frileuse avec les autres garçons, aussi bien à Poudlard qu’à Carlisle, n’arrivant pas retrouver ce qu’elle avait ressentit avec lui.

Puis… tout revint alors comme avant.
Sa belle-mère qu’elle évitait le plus souvent.
Sa demi-sœur qu’elle ne calculait jamais, sauf lorsqu’elles se trouvaient dans la même pièce.
Son père, Charlie, amoureux et passionné pour son métier.
Son ami de toujours, Emmett qu’elle ne voyait presque plus et dont la douceur de son regard lui manquait.
Et Billy, vieux grincheux qui rouspétait continuellement sur les deux jeunes gens, toujours entrain de mettre la pagaille dans ses champs de culture.

Ta maison sera...